Le ministre de la Santé et de l'Action Sociale a effectué une visite aux structures sanitaires abritant les services redéployé de l'hôpital Aristide Le Dantec. Elle s’est rendue à l'hôpital Dalal Jamm de Guédiawaye, au Hangar des pèlerins où doit être redéployé les malades d'hémodialyse, au Centre de Santé de Ngor, à l'hôpital militaire de Ouakam avant de finir sa visite à Abass Ndao. Prenant la parole à la fin de la tournée, Marie Khemesse Ngom Ndiaye a soldé ses comptes avec les détracteurs du projet.
«Aujourd'hui l'événement c'est la reconstruction de l'hôpital Aristide Le Dantec. Pour construire cet hôpital, il y a plusieurs stratégies. Et l'action du Sénégal aujourd'hui c'est de fermer la totalité de l'hôpital et de redéployer les services au niveau de Dakar dans un premier temps. Nous allons surtout nous appesantir en tant que ministère de la Santé et de l'action sociale, sur ce qui constitue nos motions. Notre mission principale c'est de s'occuper de la prévention, la promotion, et également des soins. Nous avons fait la faculté mythique de médecine de pharmacie et d'odontostomatologie. Nous ne pouvons pas prendre des malades et les jeter en pâture. Ça nous l'avons juré », a déclaré Marie Khemess Ngom Ndiaye.
Parlant du dossier Aristide le Dantec, elle précise : « Nous ne sommes pas encore sorti du covid-19. En pleine gestion de la pandémie, le président de la République avait vu qu'il y avait un problème de résilience par rapport au système de santé et avait convoqué tout le monde. Sur presque 4 zones, il y avait toute l'expertise sénégalaise en matière de santé et de l'action sociale. Il y avait les instituts de recherche, les universités, les partenaires sociaux, la presse,...au-delà de ce que nous allons faire pour Dantec, cet hôpital avait déjà reçu ces 500 millions dans ce plan d'investissement. Ce qui n'a pas suffi. Le directeur de l’hopital est allé voir le Président de la République. Ils ont conclu avec le président qu'on doit reconstruire Dantec. Ce que j'ai vu à la sortie de cette rencontre, ils ont conclu pour construire sur 3 hectares. Ce qu'ils ont discuté là-bas, je ne sais pas ».
Le ministre de poursuivre : « Ce pays a des experts médicaux, des planificateurs, des élus, des juristes ce pays à tout. Si certains pensent qu’il faut faire des enquêtes parlementaires, aller dans la société civile, c'est le droit le plus absolue. Mais nous ce qu'on nous demandons c'est de faire la prévention, la promotion, et le traitement. Que personne ne vient nous dire qu’ils ne sont pas au courant ».
« Nous ne sommes pas des vampires »
Madame la ministre a par ailleurs noté que pour ce qui est de la consultation, il n'y a pas de double facturation, mais également la santé n'a pas de prix, elle a un coup. Aujourd'hui même avec la politique de gratuité, il y a quelqu'un qui paye. Et c'est l'État », dit-elle.
Avant d'ajouter: « Les hémodialysés sont à l'hôpital Aristide le Dantec. Parce que le hangar des pèlerins qui devait accueillir ces gens nous l'avons visité. D'ici le 24 aout, il sera disponible. Mais le plus important c'est le traitement des malades. Nous ne pouvons pas prendre ceux qui sont à la radio thérapie et les déplacer. Nous ne sommes pas des vampires pour dire que les malades sont sortis et ont été jetés ».
«Aujourd'hui l'événement c'est la reconstruction de l'hôpital Aristide Le Dantec. Pour construire cet hôpital, il y a plusieurs stratégies. Et l'action du Sénégal aujourd'hui c'est de fermer la totalité de l'hôpital et de redéployer les services au niveau de Dakar dans un premier temps. Nous allons surtout nous appesantir en tant que ministère de la Santé et de l'action sociale, sur ce qui constitue nos motions. Notre mission principale c'est de s'occuper de la prévention, la promotion, et également des soins. Nous avons fait la faculté mythique de médecine de pharmacie et d'odontostomatologie. Nous ne pouvons pas prendre des malades et les jeter en pâture. Ça nous l'avons juré », a déclaré Marie Khemess Ngom Ndiaye.
Parlant du dossier Aristide le Dantec, elle précise : « Nous ne sommes pas encore sorti du covid-19. En pleine gestion de la pandémie, le président de la République avait vu qu'il y avait un problème de résilience par rapport au système de santé et avait convoqué tout le monde. Sur presque 4 zones, il y avait toute l'expertise sénégalaise en matière de santé et de l'action sociale. Il y avait les instituts de recherche, les universités, les partenaires sociaux, la presse,...au-delà de ce que nous allons faire pour Dantec, cet hôpital avait déjà reçu ces 500 millions dans ce plan d'investissement. Ce qui n'a pas suffi. Le directeur de l’hopital est allé voir le Président de la République. Ils ont conclu avec le président qu'on doit reconstruire Dantec. Ce que j'ai vu à la sortie de cette rencontre, ils ont conclu pour construire sur 3 hectares. Ce qu'ils ont discuté là-bas, je ne sais pas ».
Le ministre de poursuivre : « Ce pays a des experts médicaux, des planificateurs, des élus, des juristes ce pays à tout. Si certains pensent qu’il faut faire des enquêtes parlementaires, aller dans la société civile, c'est le droit le plus absolue. Mais nous ce qu'on nous demandons c'est de faire la prévention, la promotion, et le traitement. Que personne ne vient nous dire qu’ils ne sont pas au courant ».
« Nous ne sommes pas des vampires »
Madame la ministre a par ailleurs noté que pour ce qui est de la consultation, il n'y a pas de double facturation, mais également la santé n'a pas de prix, elle a un coup. Aujourd'hui même avec la politique de gratuité, il y a quelqu'un qui paye. Et c'est l'État », dit-elle.
Avant d'ajouter: « Les hémodialysés sont à l'hôpital Aristide le Dantec. Parce que le hangar des pèlerins qui devait accueillir ces gens nous l'avons visité. D'ici le 24 aout, il sera disponible. Mais le plus important c'est le traitement des malades. Nous ne pouvons pas prendre ceux qui sont à la radio thérapie et les déplacer. Nous ne sommes pas des vampires pour dire que les malades sont sortis et ont été jetés ».