Le ministre de la santé et de l’action sociale était hier dans la soirée en réunion avec les représentants des syndicats de la santé qui ont décrété, dans le cadre de leur 5ème plan d’action , 3 jours « sans soins médicaux ».
Il s’agissait pour Abdoulaye Diouf, d’obtenir la suspension du mot d’ordre de grève de plus de 5 organisations syndicales de la santé.
Au cours de cette rencontre dont l’objectif était de « désamorcer la bombe », le ministre de la santé et de l’action sociale a « manifesté sa solidarité et son soutien » aux acteurs de la santé à qui, il a rappelé la mission de sercice public, fait savoir le directeur des établissements publics de santé .
A cet titre, a rappelé le ministre, il est « impensable qu’à la suite de mouvements d’humeur, il y ait un impact sur la prise en charge sanitaire, notamment chez les plus vulnérables et les patients venus se présenter aux urgences ».
Selon Ousmane Niang, le directeur des établissements publics de santé, les syndicalistes ont pris « engagement » au cours de cette rencontre avec le ministre Abdoulaye Diouf Sarr de « respecter le minimum légal au moins ». Cette disposition doit permettre d’assurer les urgences et l’évacuation des patients dont la situation pourrait se détériorer en cour de prise en charge, mais malheureusement n’ont pas pu bénéficier de meilleurs soins possibles du fait du mouvement de grève.
Les syndicats représentés à cette rencontre ont, selon notre source, « rappelé » les composantes de la plateforme qu’ils avaient portées à l’attention de la hiérarchie.
Pour le le directeur des établissements publics de santé, « tous les points de cette plateforme revendicative relevant de la compétence du ministère de la santé et de l’action sociale ont été satisfaits ». Il restait selon Ousamane Niang, « le régime indemnitaire et certains aspects » qui concerneraient le ministère de la fonction publique. Sur cet aspect précis, « promesse de satisfaction à été faite aux syndicalistes » une fois le ministre des finances « serait à Dakar ». Mieux, Abdoulaye Diouf Sarr a pris « l’engagement de tenir prochainement » une réunion avec ses collègues ministres qui sont concernés par les revendications des syndicats.
Cependant « l’urgence de cette rencontre » qui a pris fin tard, était de convaincre les syndicalistes au respect du service minimum durant la grève aux fins d’assurer les soins.
Le ministre a tenu à faire comprendre aux acteurs, qu’il est bon d’avoir « un cadre de concertation » avec tous les syndicats.
Il s’agissait pour Abdoulaye Diouf, d’obtenir la suspension du mot d’ordre de grève de plus de 5 organisations syndicales de la santé.
Au cours de cette rencontre dont l’objectif était de « désamorcer la bombe », le ministre de la santé et de l’action sociale a « manifesté sa solidarité et son soutien » aux acteurs de la santé à qui, il a rappelé la mission de sercice public, fait savoir le directeur des établissements publics de santé .
A cet titre, a rappelé le ministre, il est « impensable qu’à la suite de mouvements d’humeur, il y ait un impact sur la prise en charge sanitaire, notamment chez les plus vulnérables et les patients venus se présenter aux urgences ».
Selon Ousmane Niang, le directeur des établissements publics de santé, les syndicalistes ont pris « engagement » au cours de cette rencontre avec le ministre Abdoulaye Diouf Sarr de « respecter le minimum légal au moins ». Cette disposition doit permettre d’assurer les urgences et l’évacuation des patients dont la situation pourrait se détériorer en cour de prise en charge, mais malheureusement n’ont pas pu bénéficier de meilleurs soins possibles du fait du mouvement de grève.
Les syndicats représentés à cette rencontre ont, selon notre source, « rappelé » les composantes de la plateforme qu’ils avaient portées à l’attention de la hiérarchie.
Pour le le directeur des établissements publics de santé, « tous les points de cette plateforme revendicative relevant de la compétence du ministère de la santé et de l’action sociale ont été satisfaits ». Il restait selon Ousamane Niang, « le régime indemnitaire et certains aspects » qui concerneraient le ministère de la fonction publique. Sur cet aspect précis, « promesse de satisfaction à été faite aux syndicalistes » une fois le ministre des finances « serait à Dakar ». Mieux, Abdoulaye Diouf Sarr a pris « l’engagement de tenir prochainement » une réunion avec ses collègues ministres qui sont concernés par les revendications des syndicats.
Cependant « l’urgence de cette rencontre » qui a pris fin tard, était de convaincre les syndicalistes au respect du service minimum durant la grève aux fins d’assurer les soins.
Le ministre a tenu à faire comprendre aux acteurs, qu’il est bon d’avoir « un cadre de concertation » avec tous les syndicats.