COVID-19 Les points forts de la semaine autour du monde : Débat autour de la vaccination de rappel, taux de vaccination et ouverture pour les voyageurs vaccinés

Rédigé le Vendredi 5 Novembre 2021 à 16:05 |



En raison de l'évolution rapide de la nature de la pandémie COVID-19, Medscape souhaite partager avec vous les articles les plus marquants et les plus pertinents sur le plan clinique de la semaine dernière.

Il s'agit d'un aperçu des meilleures pratiques émergentes au cours d'une pandémie qui évolue rapidement. Toutes les informations actuellement disponibles concernant COVID-19 sont susceptibles d'être modifiées à mesure que de nouveaux détails seront disponibles. Certaines des informations ci-dessous peuvent également être contredites par les autorités sanitaires locales ou mondiales.


Au Royaume-Uni, les nouvelles  directives de l' UKHSA  recommandent que les personnes présentant le risque clinique le plus élevé puissent recevoir leur rappel de vaccin COVID-19 avant l'intervalle habituel de 6 mois. De plus, un groupe d’experts s’interroge sur le fait que la vitamine C ne figure pas dans les recommandations cliniques pour le traitement du COVID-19, malgré les preuves  substantielles soutenant les avantages de ce supplément peu coûteux. En parallèle, des données ont montré que les patients atteints d'hémopathies malignes réagissent  beaucoup moins bien  aux vaccins COVID-19 que ceux atteints de cancers solides. Bien que moins nombreux que la semaine dernière, les cas de  COVID-19  restent élevés (environ 34 000 par jour), soit un taux de 416,9 pour 100 000 habitants. Les décès et les admissions à l'hôpital continuent à augmenter. Jusqu'à présent, 79,5 % des plus de 12 ans ont été complètement vaccinés et il y a eu une légère augmentation (14,5 %) des injections d’une troisième dose de vaccin ou rappel. Le sous-variant delta AY.4.2, plus transmissible, est désormais repéré dans près de 10% des tests positifs réalisés au RU.

Depuis deux semaines, le taux d'incidence a augmenté presque partout en France. L'augmentation est de l'ordre de 12% à l'échelle nationale en une semaine. Dans 60 départements, elle dépasse même le seuil d'alerte de 50 cas pour 100 000 habitants.

Selon le ministère de la santé, 50 millions de personnes ont désormais un calendrier de vaccination complet. En outre, 48% de la population éligible à 7 mois a reçu sa dose de rappel.

La prolongation du pass sanitaire continue de faire débat. La loi qui prévoit, entre autres, de recourir au pass jusqu'au 31 juillet 2022 oppose l'Assemblée nationale et le Sénat. Ce dernier préférerait y mettre fin dès le 28 février 2022. Si les deux assemblées ne parviennent pas à se mettre d'accord, l'Assemblée nationale aura le dernier mot par un vote ce vendredi (5 novembre). Par ailleurs, l'Académie de  médecine s'est prononcée  contre le fait de conditionner l'obtention du pass sanitaire à un rappel de vaccination, comme le souhaite le gouvernement. Plus anecdotique, alors que les premières pistes de ski ont ouvert, notamment à Tignes (Alpes), les remontées mécaniques des stations de ski ne sont pas soumises à l'obligation de présenter un pass sanitaire, à ce stade, a assuré la secrétaire d'État au Tourisme sur BFM TV.

En Allemagne, l'incidence nationale sur sept jours a diminué en début de semaine. L'Institut Robert Koch a signalé une valeur de 143,6 nouvelles infections pour 100 000 habitants le mercredi (03 novembre) matin (jour précédent 153,7 ; semaine précédente 118). Toutefois, en raison des vacances de la Toussaint dans cinq États, il est possible que moins d'infections aient été signalées récemment. En Allemagne, 66,7 % des personnes sont totalement vaccinées. 69,4 % ont reçu au moins une dose.

En parallèle, le débat se poursuit sur la question de savoir qui doit recevoir les rappels de vaccins COVID-19 - et qui doit les administrer.  Les rappels de vaccins sont possibles au moins six mois après une vaccination complète. Pour l'instant, la Commission permanente des vaccinations (Stiko) recommande la vaccination, entre autres, des personnes âgées de 70 ans et plus et des groupes à risque. Toutefois, des évaluations sont en cours pour déterminer si la vaccination de rappel peut être recommandée pour tous. Selon le président de la Stiko, Thomas Mertens, la question décisive est de savoir si la propagation du virus peut être ralentie par ce rappel.

La réouverture des centres de vaccination récemment fermés est suggérée par ministre de la santé par intérim, Jens Spahn. Les médecins allemands se disent prêts à effectuer beaucoup plus de vaccinations de rappel COVID-19 cet hiver, mais ils demandent des conditions préalables claires (lancement d’invitations à la vaccination, flexibilité pour commander les vaccins…).

En Autriche, l'incidence sur sept jours a grimpé à 400 cas pour 100 000 habitants. Le nombre de patients dans les services classiques a augmenté de façon particulièrement significative de 145 à 1 600. Le nombre de lits de soins intensifs occupés par des patients atteints du COVID-19 a dépassé le seuil de 300, selon les autorités. que la deuxième étape des  mesures  COVID-19, qui en compte cinq,  s 'appliquera. Ainsi, l’accès à diverses grandes manifestations ne sera possible que pour les patients disposant d’un certificat de convalescence et les patients vaccinés. Si la situation s'aggrave encore, des restrictions drastiques pourraient être appliquées aux personnes non vaccinées, notamment un confinement pour ce groupe.

L'incidence à 14 jours en Suisse est actuellement (2 novembre) de 230 pour 100 000  habitants.  Le nombre de cas continue donc d'augmenter. La Suisse centrale et orientale est la plus touchée par cette augmentation.

En Suisse, 63,8% de la population a été entièrement vaccinée avec deux doses à ce jour ; 66% ont reçu une dose. Jusqu'à présent, la demande pour le vaccin de Johnson & Johnson a été faible en Suisse, comme dans beaucoup d’autres pays européens, comme la France. Le  Conseil fédéral souhaite augmenter encore le taux de vaccination  et prévoit une semaine nationale de vaccination du 8 au 14 novembre pour atteindre les personnes qui n'ont pas encore été vaccinées.

Il est "très probable" que tous les résidents belges d’EHPAD recevront une dose de vaccination de  rappel  dans les prochains mois ou dans le courant de l'année 2022, a déclaré la ministre wallonne de la Santé Christie Morreale. Une troisième injection n'est actuellement administrée qu'aux résidents des centres de soins, aux personnes âgées de plus de 65 ans et aux personnes dont l'immunité est affaiblie. En attendant, Bruxelles n'a pas atteint son objectif de 65% de vaccinés  à la fin du mois d'octobre. La campagne de vaccination dans la région de Bruxelles est toujours à la traîne par rapport aux autres. Le nombre de personnes vaccinées est de 57%, alors que la Wallonie a dépassé les 70% et la Flandre les 80%. « Nous ciblons certains endroits, en y envoyant d'abord des agents de prévention pour parler à la population. Nous mettons en place des points de contact pour les personnes âgées. Tant que les chiffres de la vaccination augmentent, nous continuerons avec cette méthode », a déclaré le ministre fédéral de la Santé, M. Vandenbroucke.

L'Italie est confrontée à un renversement de tendance de la contagion : l'incidence a rapidement augmenté de 29 à 41 cas pour 100 000, juste sous le seuil hebdomadaire de 50 cas pour 100 000. Le Rt augmente également, passant de 0,86 à 0,96, et devrait dépasser le seuil épidémique la semaine prochaine. Le taux d'occupation des unités de soins intensifs est stable, tandis que les hospitalisations classiques sont reparties à la hausse.

Avec près de 90 millions de vaccinations, dont un million au cours de la dernière semaine, 86,33% de la population cible de plus de 12 ans a été atteinte avec au moins une dose, tandis que près de 83% a reçu un schéma de vaccination complet. Parallèlement à la première dose, qui concerne désormais presque uniquement les adolescents, la campagne de doses supplémentaires pour les patients immunodéprimés et de rappels chez les personnes âgées se poursuit.

Le ministère de la santé, après avis positif de l'agence nationale de réglementation AIFA, a autorisé l'utilisation du vaccin Moderna pour les rappels, mais à demi-dose, plus proche de la dose standard d'ARNm du vaccin Pfizer.

Les manifestations des groupes anti-vax ont été interdites dans la ville de Trieste en raison d'une recrudescence de cas graves parmi les manifestants.

Lundi dernier, la ville d'Anguillara Veneta, dans le nord de l'Italie, a conféré la citoyenneté d'honneur au président brésilien Jair Bolsonaro. Le conseil municipal a décidé d'honorer Bolsonaro. La maire, Alessandra Buoso, membre du parti d'extrême droite de la Ligue, a déclaré que la ville souhaitait « récompenser l'accueil que les migrants d'Anguillara Veneta ont reçu au Brésil ». Cette décision a provoqué des remous en Italie et des protestations contre le fait d'honorer un dirigeant qui fait l'objet de critiques internationales (et maintenant d'une possible accusation de crime contre l’humanité devant les tribunaux brésiliens) pour sa gestion de la pandémie de COVID-19.

Au Portugal, les admissions ont à nouveau augmenté et sont au niveau le plus élevé depuis la fin du mois de septembre. On été enregistrés 9 décès supplémentaires et 450 cas confirmés de COVID-19 au cours des dernières 24 heures (jusqu'au 2 novembre), selon le bulletin épidémiologique de la Direction générale de la santé (DGS). Depuis le début de la pandémie, le pays a enregistré un total de 18 171 décès et 1 091 592 cas confirmés.

Le pays lutte pour contenir les épidémies. Les autorités de la région de l'île de Madère ont identifié 32 nouveaux cas de COVID-19 le 2 novembre, après avoir signalé 157 cas et sept personnes hospitalisées, a rapporté aujourd'hui la Direction régionale de la santé (DRS). Parmi ces cas, 30 sont importés et 127 autochtones.

La population est appelée par SMS à se faire vacciner simultanément contre la grippe et le COVID-19 ou seulement contre la grippe (si elle n'est pas éligible au COVID-19). À ce jour, plus de 85,9 % de la population portugaise a été entièrement vaccinée. Le nombre de personnes ayant reçu une troisième dose ou une dose supplémentaire a atteint 200 000. L'incidence nationale est de 101,5 cas pour 100 000 habitants. Le taux de transmission national est de 1,05 (données de la DGS du 2 novembre).

La pandémie de COVID-19 en Espagne continue d'être plus ou moins stable, avec une incidence à 14 jours de 49,03 cas pour 100 000 habitants (0,83 points de moins depuis le dernier rapport), selon les dernières  données  fournies par le ministère de la Santé ce mardi 2 novembre. Néanmoins, le Rt est passé au-dessus de 1. L'incidence a légèrement diminué dans la plupart des groupes d'âge, sauf chez les moins de 12 ans, chez qui elle a augmenté d'un point. Les tranches d'âge supérieures à 50 cas (risque moyen) sont celles des moins de 12 ans et des adultes entre 30 et 49 ans.

En ce qui concerne la vaccination, 38 037 531 personnes (90,3 % de la population cible) ont déjà reçu en Espagne au moins une dose du vaccin et 37 317 388 (88,6 %) le schéma vaccinal complet, selon les informations fournies  mardi 2 novembre par le ministère de la santé.

La nouvelle stratégie de vaccination publiée  mardi 2 novembre par le ministère de la Santé établit que pour la troisième dose, « tout vaccin à ARNm peut être utilisé, indépendamment du vaccin utilisé lors de la première vaccination. » La stratégie prévoit également, selon les indications de l'EMA, que la dose de rappel administrée sera de 0,3 millilitre dans le cas du vaccin Pfizer/BioNTech et de 0,25 millilitre pour Moderna, soit « la moitié de la dose » administrée lors des deux premières injections.

Le continent américain enregistre une baisse des cas pour la 8e semaine consécutive. Au cours de la semaine dernière, on été signalés plus de 745 000 nouvelles infections COVID-19 et un peu plus de 18 000 décès liés au COVID.

Le directeur adjoint de l'Organisation panaméricaine de la santé (OPS), Jarbas Barbosa, a indiqué que 1,2 milliard de doses de vaccins contre le COVID-19 ont été administrées  dans la Région des Amériques et que 46 % de la population d'Amérique latine et des Caraïbes a été entièrement vaccinée.

Au moins 32 pays de la région ont déjà atteint l'objectif de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) consistant à vacciner 40 % de la population d'ici à la fin de 2021, et plusieurs autres sont en passe de l'atteindre. Mais des pays comme Haïti, le Nicaragua, la JamaïqueSaint-Vincent-et-les-Grenadines et le Guatemala ont vacciné moins de 20 % de leur population.

L'OPS a exhorté les pays à donner la priorité aux personnes âgées, aux travailleurs de première ligne et aux personnes souffrant d'affections préexistantes et à ne fournir un vaccin de rappel qu'à deux groupes : les personnes immunodéprimées et les personnes de plus de 60 ans ayant reçu un vaccin à virus inactivé tel que (Sinovac ou Sinopharm).

Aux Etats-Unis, l’épidémie est sur la pente descendante avec 84 800 nouveaux cas et 1880 décès rapportés pour le 3 novembre (incidence des 7 derniers jours :  152/100 000). La FDA a autorisé le vaccin Pfizer contre le Covid-19 chez les 5 à 11 ans  et les CDC ont validé la vaccination chez les enfants de cette tranche d'âge. Les Etats-Unis, qui avaient largement anticipé cette décision, se sont dits prêts à commencer à vacciner les enfants dès cette semaine.

Chez les enfants de 5 à 11 ans, le vaccin Pfizer-BioNTech sera administré selon un schéma à deux doses, à 3 semaines d’intervalle, mais à une dose plus faible (10 µg) que celle utilisée chez les individus de 12 et plus (30 µg).

Selon une nouvelle étude des CDC, les personnes non vaccinées qui ont eu une infection récente sont cinq fois plus susceptibles d'être réinfectées par le coronavirus que celles qui sont complètement vaccinées sans avoir eu d'infection antérieure.

Au Mexique74 639 352 personnes ont reçu un vaccin COVID-19. La ville de Mexico a annoncé qu'elle avait atteint son objectif de vaccination (7,1 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin). Cette semaine, une diminution des cas estimés de COVID-19 a été signalée et 90% du pays présente un faible risque d'infection COVID-19.

Au Brésil, environ 55% de la population éligible a déjà reçu le calendrier complet de vaccination contre le COVID-19 au 1er novembre (20h). Ce qui équivaut à plus de 117 283 826 personnes qui ont reçu les deux doses ou une seule dose de vaccin. Toutefois, ce chiffre exprime une moyenne nationale et il existe des inégalités régionales.

La tendance à la baisse des cas et des décès se poursuit. Trois États n'ont pas enregistré de décès liés au COVID-19 lundi (1er novembre) : Ceará, Mato Grosso do Sul et Rondônia. La moyenne mobile des décès était inférieure à 300 décès par jour pour la première fois depuis avril 2020.

Les taux de transmission restent stables, indique le bulletin de l'Observatoire Covid-19 de la Fondation Oswaldo Cruz publié vendredi (29 octobre). Les experts avertissent que l'âge doit être considéré comme un aspect de la vulnérabilité et nécessite des mesures de protection, une prise en charge clinique et une surveillance. Parmi les personnes âgées qui ont contracté la maladie, 63,3 % sont hospitalisées, et 81,9 % du nombre total de décès concernent des personnes âgées de 60 ans ou plus. La létalité hospitalière chez les personnes âgées est 2,5 fois plus élevée que chez les jeunes adultes. Au cours de la semaine du 10 au 16 octobre, l'âge moyen des patients décédés était de 71,6 ans et celui des patients admis aux soins intensifs était de 64,2 ans.

Lundi (1er novembre), les établissements de São Paulo (SP), la plus grande ville d'Amérique du Sud, l'utilisation de masques rester obligatoire. À Rio de Janeiro, les législateurs ont approuvé une loi qui suspend l'utilisation obligatoire des masques dans les espaces ouverts, mais la règle n'est pas encore entrée en vigueur.

Jusqu'à présent  en Afrique, on été rapportés 8 581 000 infections et 218 000 décès causés par le COVID-19. Les pays rapportant le plus grand nombre de décès par jour sont l'Egypte (54), l'Afrique du Sud (28), la Libye (15), l'Ethiopie (13) et le Cameroun (12). Les pays rapportant le plus grand nombre de nouvelles infections par jour sont l'Egypte (923), la Libye (514), l'Ethiopie (394), l'Afrique du Sud (317) et le Cameroun (316).

En ce qui concerne la vaccination, le continent africain a administré une dose à 8,48 % de sa population, tandis que 5,58 % disposent du calendrier complet, selon le  CDC africain.

Pékin, en Chine, a signalé le pic  le plus élevé  de l'année mercredi (3 novembre) avec 9 nouveaux cas de COVID-19. Ce pic se reflète également dans les chiffres nationaux qui sont passés de 54 cas le mardi 2 novembre à 93 cas le mercredi 3 novembre, soit le plus haut niveau depuis trois mois. Des contrôles stricts ont été mis en place, notamment des annulations de vols. Le même jour, les messages contradictoires du gouvernement ont entraîné des achats «  paniques » pour des produits de base tels que le  riz et le chou.

Le vaccin indien COVID-19 Covaxin , créé par la société Bharat Biotech basée à Hyderabad, a reçu l'autorisation d'utilisation d'urgence de  l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Le vaccin doit être administré en deux doses, à quatre semaines d'intervalle, à toute personne âgée de plus de 18 ans. Il s'agit du septième vaccin à être approuvé par l'OMS.

Hong Kong, où le nombre de cas de COVID-19 est très faible, va déployer des rappels de vaccin contre le  COVID-19  à partir de la semaine prochaine. Seuls 15 % des plus de 80 ans ont été vaccinés jusqu'à présent, mais les personnes âgées, les professionnels de santé, les chauffeurs routiers transfrontaliers et les personnes appartenant à des groupes à haut risque seront prioritaires.

L'augmentation du nombre de cas de COVID-19 est passée de 1 000 nouveaux cas lundi (1er novembre) à 2 667 nouveaux cas mardi (2 novembre). 25% de ces  nouveaux cas concernent des adolescents, dont 1 sur 378 est gravement malade et traité à l'hôpital.  90% de la population adulte a été vaccinée. 1% des 12-17 ans ont été vaccinés avec le vaccin Pfizer/BioNTech jusqu'à présent.

Lundi (1er novembre), la Thaïlande a ouvert ses portes aux touristes vaccinés de plus de 60 pays.  Les visiteurs devront se soumettre à un test avant et après le voyage, passer une nuit dans un hôtel agréé et présenter des  garanties  supplémentaires  en matière d'assurance  voyage.  Jusqu'à présent, 40 % de la population thaïlandaise a été vaccinée.

L'Australie a levé son interdiction de voyager pour permettre aux résidents entièrement vaccinés de voyager pour la première fois depuis mars 2020. En outre, les voyageurs vaccinés se rendant en Australie n'ont plus besoin de rester en quarantaine dans un hôtel pendant 2 semaines. Les aéroports seront autorisés à rouvrir une fois que l'État aura atteint un taux de vaccination de 80 % des personnes âgées de 16 ans et plus.

- Les équipes de rédaction de Univadis, Medscape, Coliquio et Mediquality

 
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