À retenir Pour la première fois des chercheurs ont évalué chez des sujets sains, l’impact de la qualité, de la durée et du respect de l’heure habituelle du sommeil sur la réponse glycémique au petit déjeuner qui suit. Voici ce que mettent en évidence les résultats : un sommeil de mauvais qualité, ou encore un coucher plus tardif que d’habitude sont des facteurs délétères du contrôle de la glycémique post prandiale du petit déjeuner qui suit, un petit déjeuner riche en graisses pourrait contribuer à atténuer ces effets néfastes.